Marie-Antoinette, amoureuse et protectrice des arts : telle est l'image que Thierry Malandain, avec ce ballet créé en 2019 sur la scène de l'Opéra Royal de Versailles, a voulu rendre à la dernière Reine de France. Un vibrant hommage haut en couleur, sur des symphonies de Haydn et de Glück, à celle que l'Histoire malmena.
Malandain Ballet Biarritz
Thierry Malandain, chorégraphe
Orchestre Symphonique d'Euskadi
Mélanie Levy-Thiébaut, cheffe d'orchestre
Filmé le 31 mars 2019 à L’Opéra Royal de Versailles, lors de la première mondiale.
On se souvient de « l'Autrichienne » ou encore du surnom significatif de « Madame Déficit », en revanche, au-delà des fêtes, des bals et des parures, le goût prononcé de Marie-Antoinette pour les arts, le théâtre, la musique et la danse est moins connu. Ainsi, bien qu'un personnel fût chargé de veiller à ses plaisirs, Marie-Antoinette s'occupait elle-même de l'organisation des spectacles de la Cour, et se mêlait encore de ceux de Paris. Cultivant le chant, le clavecin et la harpe, il lui arrivait de jouer la comédie. Mais sans doute le rôle de sa vie fut-il celui de Dauphine puis de Reine de France, entre étiquette, désœuvrement, frivolité et intrigues. À partir de ce matériau où la théâtralité est centrale, Thierry Malandain a créé, pour Château de Versailles Spectacles en 2019, ce ballet Marie-Antoinette sur des symphonies de Joseph Haydn et Christoph Willibald Gluck.
Pour consulter le livret, disponible en français et anglais, cliquez ici
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Malandain Ballet Biarritz
Thierry Malandain, chorégraphe
Orchestre Symphonique d'Euskadi
Mélanie Levy-Thiébaut, cheffe d'orchestre
Filmé le 31 mars 2019 à L’Opéra Royal de Versailles, lors de la première mondiale.
On se souvient de « l'Autrichienne » ou encore du surnom significatif de « Madame Déficit », en revanche, au-delà des fêtes, des bals et des parures, le goût prononcé de Marie-Antoinette pour les arts, le théâtre, la musique et la danse est moins connu. Ainsi, bien qu'un personnel fût chargé de veiller à ses plaisirs, Marie-Antoinette s'occupait elle-même de l'organisation des spectacles de la Cour, et se mêlait encore de ceux de Paris. Cultivant le chant, le clavecin et la harpe, il lui arrivait de jouer la comédie. Mais sans doute le rôle de sa vie fut-il celui de Dauphine puis de Reine de France, entre étiquette, désœuvrement, frivolité et intrigues. À partir de ce matériau où la théâtralité est centrale, Thierry Malandain a créé, pour Château de Versailles Spectacles en 2019, ce ballet Marie-Antoinette sur des symphonies de Joseph Haydn et Christoph Willibald Gluck.
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