Gwendoline Blondeel . Patrick Kabongo . Jean-François Lapointe . Éléonore Pancrazi . Jean-Gabriel Saint-Martin . Flore Royer . Attila Varga-Tóth . Jérémie Delvert . Jean-Romain Vesperini
Chœur de l’Armée française
Chœur de l’Opéra Royal
Orchestre de l’Opéra Royal
Gaétan Jarry Direction
Jean-Romain Vesperini Mise en scène, assisté de Claire Manjarrès
Christian Lacroix Costumes, assisté de Jean-Philippe Pons
Roland Fontaine Décors
Étienne Guiol Vidéo
Christophe Chaupin Lumières
Laurence Couture Maquillages et coiffures
Maurine Baldassari et Cécile Larue Perruques
Julie Berce Accessoires
Auréolé d’un exceptionnel succès, Donizetti donne à Paris en 1840 son premier opéra créé en français : La Fille du régiment. Le roi Louis-Philippe vient de réouvrir les portes de Versailles en décidant d’y créer un musée dédié « à toutes les gloires de la France ». Napoléon y est plus honoré que Louis XIV, et la France s’apprête à accueillir avec ferveur le retour des cendres de l’Empereur. Autant dire que le patriotisme bat son plein, et La Fille du régiment est parfaitement dans le ton. Pour chanter ces amours improbables entre la vivandière Marie, devenue fille adoptive du régiment, et le brave Tonio qui a sauvé la jeune femme et rejoint l’armée napoléonienne, Donizetti s’en donne à cœur joie : airs et chœurs patriotiques, assaut de bel canto et le fameux air de Tonio, « Everest de l’Art Lyrique » aux neuf contre-uts !
La millième représentation fut atteinte en 1914 à Paris. Lors des représentations de décembre 1940 au Metropolitan Opera de New York, Lily Pons, après un étourdissant « Salut à la France » entonna La Marseillaise qui devint un symbole de liberté en pleine guerre. Les solistes virtuoses Gwendoline Blondeel et Patrick Kabongo, accompagnés du Chœur de l’Armée française, vont transporter le public de l’Opéra Royal vers le cœur battant de la patrie !
Production Opéra Royal / Château de Versailles Spectacles.
Les représentations des 10 et 12 avril ont été captées par Wahoo Production.
Gwendoline Blondeel . Patrick Kabongo . Jean-François Lapointe . Éléonore Pancrazi . Jean-Gabriel Saint-Martin . Flore Royer . Attila Varga-Tóth . Jérémie Delvert . Jean-Romain Vesperini
Chœur de l’Armée française
Chœur de l’Opéra Royal
Orchestre de l’Opéra Royal
Gaétan Jarry Direction
Jean-Romain Vesperini Mise en scène, assisté de Claire Manjarrès
Christian Lacroix Costumes, assisté de Jean-Philippe Pons
Roland Fontaine Décors
Étienne Guiol Vidéo
Christophe Chaupin Lumières
Laurence Couture Maquillages et coiffures
Maurine Baldassari et Cécile Larue Perruques
Julie Berce Accessoires
Auréolé d’un exceptionnel succès, Donizetti donne à Paris en 1840 son premier opéra créé en français : La Fille du régiment. Le roi Louis-Philippe vient de réouvrir les portes de Versailles en décidant d’y créer un musée dédié « à toutes les gloires de la France ». Napoléon y est plus honoré que Louis XIV, et la France s’apprête à accueillir avec ferveur le retour des cendres de l’Empereur. Autant dire que le patriotisme bat son plein, et La Fille du régiment est parfaitement dans le ton. Pour chanter ces amours improbables entre la vivandière Marie, devenue fille adoptive du régiment, et le brave Tonio qui a sauvé la jeune femme et rejoint l’armée napoléonienne, Donizetti s’en donne à cœur joie : airs et chœurs patriotiques, assaut de bel canto et le fameux air de Tonio, « Everest de l’Art Lyrique » aux neuf contre-uts !
La millième représentation fut atteinte en 1914 à Paris. Lors des représentations de décembre 1940 au Metropolitan Opera de New York, Lily Pons, après un étourdissant « Salut à la France » entonna La Marseillaise qui devint un symbole de liberté en pleine guerre. Les solistes virtuoses Gwendoline Blondeel et Patrick Kabongo, accompagnés du Chœur de l’Armée française, vont transporter le public de l’Opéra Royal vers le cœur battant de la patrie !
Production Opéra Royal / Château de Versailles Spectacles.
Les représentations des 10 et 12 avril ont été captées par Wahoo Production.