Qui ne fut pas saisi par les amours de Roméo et Juliette ? Napoléon, grand homme de guerre, n'en fut pas une exception. Franco Fagioli et Adèle Charvet reforment ce formidable duo du castrat Crescentini et de l'adulée Grassini dans cet opéra de Zingarelli pour un hommage à ce Bonaparte méconnu, protecteur des arts et amoureux de l'opéra italien.
L'OPERA DE NAPOLEON
Orchestre de l'Opéra Royal
Stephan Plewniak, direction
Franco Fagioli, Adèle Charvet, Philippe Talbot
Niccolo Antonion Zingarelli (1752-1837)
La ferveur de Napoléon pour l’opéra était extrême. Ce conquérant mélomane fit venir auprès de lui une jeune étoile italienne, la contralto Giuseppina Grassini, et le plus éblouissant castrat : Girolamo Crescentini, seul chanteur à émouvoir l’Empereur jusqu'aux larmes. Invité en France de 1806 à 1812, Crescentini fit les soirs glorieux de la Chapelle Impériale aux Tuileries en compagnie de Grassini nommée Première Cantatrice de sa Majesté l'Empereur – et sa maîtresse. La passion musicale de Napoléon allait à l'opéra italien, 143 concerts de solistes italiens à la Cour entre 1810 et 1815 en témoignent!
Le cheval de bataille de Grassini et Crescentini était l’opéra Giulietta e Romeo de Zingarelli, créé à la Scala en 1796, puis joué de nombreuses fois à Paris devant Napoléon par ses deux chanteurs fétiches. "Ils excitent en moi l'héroïsme" disait Napoléon. Ce duo de stars de l'Empire reprend vie avec Franco Fagioli et Adèle Charvet, pour une sélection des grands numéros de cet opéra totalement oublié de Zingarelli, alors qu'il connut le triomphe dans toute l'Europe pendant trois décennies, grâce à un Bel Canto somptueux : voici l'Opéra de Napoléon !
Pour consulter le livret, disponible en français et anglais, cliquez ici
Pour retrouver cet enregistrement sur notre boutique en ligne, cliquez ici
L'OPERA DE NAPOLEON
Orchestre de l'Opéra Royal
Stephan Plewniak, direction
Franco Fagioli, Adèle Charvet, Philippe Talbot
Niccolo Antonion Zingarelli (1752-1837)
La ferveur de Napoléon pour l’opéra était extrême. Ce conquérant mélomane fit venir auprès de lui une jeune étoile italienne, la contralto Giuseppina Grassini, et le plus éblouissant castrat : Girolamo Crescentini, seul chanteur à émouvoir l’Empereur jusqu'aux larmes. Invité en France de 1806 à 1812, Crescentini fit les soirs glorieux de la Chapelle Impériale aux Tuileries en compagnie de Grassini nommée Première Cantatrice de sa Majesté l'Empereur – et sa maîtresse. La passion musicale de Napoléon allait à l'opéra italien, 143 concerts de solistes italiens à la Cour entre 1810 et 1815 en témoignent!
Le cheval de bataille de Grassini et Crescentini était l’opéra Giulietta e Romeo de Zingarelli, créé à la Scala en 1796, puis joué de nombreuses fois à Paris devant Napoléon par ses deux chanteurs fétiches. "Ils excitent en moi l'héroïsme" disait Napoléon. Ce duo de stars de l'Empire reprend vie avec Franco Fagioli et Adèle Charvet, pour une sélection des grands numéros de cet opéra totalement oublié de Zingarelli, alors qu'il connut le triomphe dans toute l'Europe pendant trois décennies, grâce à un Bel Canto somptueux : voici l'Opéra de Napoléon !
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