Jouées à l'époque par Haendel lui-même, ces pièces agiles, tendres et poétiques révèlent une couleur singulière que Gaétan Jarry interprète sur le nouveau grand orgue construit par Quentin Blumenroeder pour Versailles : enfin un orgue qui peut transmettre la musique de Haendel dans toute sa beauté.
Chiara Skerath Soprano
Ensemble Marguerite Louise
Gaétan Jarry Orgue et direction
Georg Friedrich Haendel (1685-1759)
Concerto en fa majeur n°4 opus 4
Concerto en sol majeur / mineur n°1 opus 4
Concerto en ré mineur n°4 opus 7
Rejoice Greatly, O Daughter of Zion (Messiah)
Salve Regina
Saeviat tellus inter rigores
Véritables petits délices d'esprit et de virtuosité de la musique baroque, les concertos pour orgue et orchestre de Haendel furent composés pour servir d’intermèdes au cours de ses oratorios. Joués à l’époque par Haendel lui-même, alors connu pour être un organiste sans égal, ces pièces d’une grande légèreté et d’une tendre poésie nous font découvrir une couleur sonore merveilleusement singulière que Gaétan Jarry vient révéler grâce au nouveau « grand » orgue positif construit à cet effet par Quentin Blumenroeder pour Versailles : enfin un orgue qui sonne pour permettre à la musique de Haendel de prendre tous ses reliefs !
En réponse à cette jubilation instrumentale portée par les musiciens de Marguerite Louise, les motets à voix seule et orchestre de Haendel nous enivrent dans un feu et une fraîcheur tout aussi concertante, grâce à la voix exceptionnelle de la soprano Chiara Skerath, qui parachève d’illuminer ce programme plein de jubilation et de grâce : Rejoyce !
Chiara Skerath Soprano
Ensemble Marguerite Louise
Gaétan Jarry Orgue et direction
Georg Friedrich Haendel (1685-1759)
Concerto en fa majeur n°4 opus 4
Concerto en sol majeur / mineur n°1 opus 4
Concerto en ré mineur n°4 opus 7
Rejoice Greatly, O Daughter of Zion (Messiah)
Salve Regina
Saeviat tellus inter rigores
Véritables petits délices d'esprit et de virtuosité de la musique baroque, les concertos pour orgue et orchestre de Haendel furent composés pour servir d’intermèdes au cours de ses oratorios. Joués à l’époque par Haendel lui-même, alors connu pour être un organiste sans égal, ces pièces d’une grande légèreté et d’une tendre poésie nous font découvrir une couleur sonore merveilleusement singulière que Gaétan Jarry vient révéler grâce au nouveau « grand » orgue positif construit à cet effet par Quentin Blumenroeder pour Versailles : enfin un orgue qui sonne pour permettre à la musique de Haendel de prendre tous ses reliefs !
En réponse à cette jubilation instrumentale portée par les musiciens de Marguerite Louise, les motets à voix seule et orchestre de Haendel nous enivrent dans un feu et une fraîcheur tout aussi concertante, grâce à la voix exceptionnelle de la soprano Chiara Skerath, qui parachève d’illuminer ce programme plein de jubilation et de grâce : Rejoyce !
Haendel – Concertos pour Orgue - Gaétan Jarry