Le 1er septembre 1715, la France est en deuil à la nouvelle de la mort de Louis XIV. Les plus grands musiciens du Royaume lui rendent alors service une ultime fois, usant de leur talent pour composer des funérailles qui se devaient d'être aussi puissantes et grandioses que ne l'avait été la vie du Souverain.
Céline Scheen Soprano
Lucile Richardot Mezzo-soprano
Samuel Boden Ténor
Marc Mauillon Baryton
Christian Immler Baryton
Ensemble Pygmalion Chœur et Orchestre
Raphaël Pichon Direction
A la chapelle ardente
Jean Colin – Miserere, faux-bourdon à 6 voix
Tambour & Marche funèbre pour le Convoi du Roy
Office des morts
Michel-Richard de Lalande – De Profundis, Grand Motet
Absoute & Mise au caveau Plain Chant et Faux Bourdon
Jean Colin – Pie Jesu, faux-bourdon à 6 voix
Fanfare “Le Roy est mort ! Vive le Roy!”
Service funèbre & Bout de l'an
Michel-Richard de Lalande – Dies Irae, Grand Motet
La mort de Louis XIV, le 1er septembre 1715, laissa le Royaume veuf après un règne de 72 ans, qui avait entièrement remodelé l’état, le pouvoir monarchique, les sciences, les arts et les frontières de la France. L’événement, depuis si longtemps attendu qu’il n’en fut que plus surprenant, donna lieu dans tout le Royaume à des cérémonies funèbres, mais c’est surtout trois d’entre elles qui furent ce que l’on appelle depuis les Funérailles Royales de Louis XIV. Le dépôt mortuaire dura 40 jours durant lesquels se déroulait un office perpétuel, ponctué trois fois par jour par le Glas du trépas du Roi.
Le 23 octobre eut lieu la cérémonie de Funérailles. Le corps du Roi fut placé dans un immense catafalque garni de cierges ardents, pourvu aux angles de figures allégoriques, et à sa base de statues colossales symbolisant les vertus du Prince décédé. La Musique de la Chapelle Royale et celle de la Chambre du Roi étaient présentes au grand complet, sous la direction de leur Maître Michel-Richard de Lalande, en service auprès de Louis XIV depuis 32 ans.
Mobilisant des effectifs considérables pour interpréter ces musiques oubliées, Raphaël Pichon emporte son Ensemble Pygmalion vers l’un des sommets du répertoire sacré, en ménageant des effets spatiaux dans la Chapelle Royale de Versailles, lieu à la force plus que jamais symbolique.
Céline Scheen Soprano
Lucile Richardot Mezzo-soprano
Samuel Boden Ténor
Marc Mauillon Baryton
Christian Immler Baryton
Ensemble Pygmalion Chœur et Orchestre
Raphaël Pichon Direction
A la chapelle ardente
Jean Colin – Miserere, faux-bourdon à 6 voix
Tambour & Marche funèbre pour le Convoi du Roy
Office des morts
Michel-Richard de Lalande – De Profundis, Grand Motet
Absoute & Mise au caveau Plain Chant et Faux Bourdon
Jean Colin – Pie Jesu, faux-bourdon à 6 voix
Fanfare “Le Roy est mort ! Vive le Roy!”
Service funèbre & Bout de l'an
Michel-Richard de Lalande – Dies Irae, Grand Motet
La mort de Louis XIV, le 1er septembre 1715, laissa le Royaume veuf après un règne de 72 ans, qui avait entièrement remodelé l’état, le pouvoir monarchique, les sciences, les arts et les frontières de la France. L’événement, depuis si longtemps attendu qu’il n’en fut que plus surprenant, donna lieu dans tout le Royaume à des cérémonies funèbres, mais c’est surtout trois d’entre elles qui furent ce que l’on appelle depuis les Funérailles Royales de Louis XIV. Le dépôt mortuaire dura 40 jours durant lesquels se déroulait un office perpétuel, ponctué trois fois par jour par le Glas du trépas du Roi.
Le 23 octobre eut lieu la cérémonie de Funérailles. Le corps du Roi fut placé dans un immense catafalque garni de cierges ardents, pourvu aux angles de figures allégoriques, et à sa base de statues colossales symbolisant les vertus du Prince décédé. La Musique de la Chapelle Royale et celle de la Chambre du Roi étaient présentes au grand complet, sous la direction de leur Maître Michel-Richard de Lalande, en service auprès de Louis XIV depuis 32 ans.
Mobilisant des effectifs considérables pour interpréter ces musiques oubliées, Raphaël Pichon emporte son Ensemble Pygmalion vers l’un des sommets du répertoire sacré, en ménageant des effets spatiaux dans la Chapelle Royale de Versailles, lieu à la force plus que jamais symbolique.
Les Funérailles Royales de Louis XIV